Ce matin fut des plus étrange pour la nature qui s'éveillait comme a son habitude sous les doux rayons du soleil. On dit que parfois, l'aube nous apporte des vènements des plus étrange, mais qui aurait alors pu imaginer qu'aujourd'hui, un jour qui pouvait parraître comme les autres, un mort rescussiterais, et quitterait le monde des trépassés pour rejoindre celui des vivants? cela pouvait passé , pourtant, pour un fait irréel, une histoire de fantôme raconté aux louveteaux pour les effrayés, mais cependant, c'était la une pure réalité qu'il fallait savoir affronter et accepter, même pour la personne a qui cet incroyable miracle arrivait.
La caverne Isolée portait bien son nom. Une simple grotte au milieu de terres dévastés,déchirées par la sécheresse et dont en sentais que la marque de cette sécheresse serait difficile a oublié. Pas un bruit résonnait, pas un même un vulgaire chant d'oiseau dont on avait tant l'habitude d'entendre le matin. Pas une goutte de pluie, ni un coup de vent et c'était a peine si la rosée c'était déposé sur la nature, enfin de ce qui en restait, des alentours de la caverne. Oui, Isolée était le meileur des adjectifs que l'on pouvait attribué a ce lieu étrange et sombre. Puis, finalement, après un lourd silence qui commençait a peser sur l'atmosphère, un léger bruit clair, cristallin retentit sur les prois de la caverne. il se répéta encore une fois, puis une seconde fois et s'accéléra. Il fut rapide de comprendre que la conséquence de ce bruit énigmatique était de simples gouttes d'eau qui ruisselait le long de la roche humide. Ainsi, après cette dure et lourde sécheresse, l'eau, ce liquide si pur et précieux revenait petit a petit en ce lieu, sous la forme de goutelettes.
Puis, un autre bruit plus net et différent attira l'attention du calme de ce lieu. Un croissement sonore et aigu, d'un ton funèbre qui réveilla vivement les êtres habitants les alentours. ce cri était signe de malheur, de perte et d'angoisse. Son ton uneste annonçait rien de bond et pourtant, l'on ne pouvait le qualifier totalement d'ennemi. Le silence retomba ensuite doucement pour être de plus cassé par ce croassement inquiétant et mystérieux. Mais il ne se répéta pas ensuite, et a la place du corbeau noir , perché sur une basse branche, qui émettait ces sons néfastes se trouvait la un loup noir aux regards sombres et rougis par la mort...